Culture et loisirs

Le patrimoine

La ville bénéficie d’un patrimoine architectural et culturel particulièrement riche et diversifié, témoignant des grandes étapes qui ont marqué l’histoire de la cité.

© Photo : Choplin.

À l’été 2020, nous avons reçu au musée Joseph-Denais deux passionnés, Pierre-Benoit Leclerc, fondateur de  Clic Clac Tôpette, féru d’Histoire angevine et C’est Francis / Sisco, un voyageur blogueur (originaire du coin) passionné de vidéo. Découvrez, avec eux, le Patrimoine Historique de Beaufort.

 

 

Suivre les traces laissées par l’histoire, c’est possible à Beaufort-en-Anjou. Suivez le guide et découvrez son patrimoine architectural et naturel.

 

Beaufort a été une des principales places fortes de l’Anjou avant la révolution et était la 3ème ville du département au XIXème siècle. Les premiers vestiges datent de 5 000 ans avant J-C. Les premiers habitants s’installent à Saint-Pierre-du-Lac, puis se rapprochent d’une butte de terre à l’abri des crues, autour d’un château fort construit par le comte d’Anjou Foulque Nerra au XIème siècle. « Bellus fortis », le nom est né : « Beaufort ».

 

En 1347, Beaufort devient un comté (jusqu’à la révolution) avec 14 communes et Guillaume Roger, premier comte de Beaufort, reconstruit le château. Au XVème siècle, le comte de Beaufort est René d’Anjou, duc d’Anjou. Sa seconde épouse Jeanne de Laval résidera à Beaufort-en-Vallée après la mort de René. Les habitants l’appellent « la bienfaitrice ».

 

XVIIIème siècle : depuis le Moyen-âge, Beaufort-en-Vallée est réputé pour ses compagnons tisserands. Comme le chanvre pousse bien dans la vallée, Colbert autorise en 1750 la création d’une manufacture de toile royale qui va faire la prospérité de la ville. La ville devient un important centre de commerces et de marché (dans les Halles).
La révolution industrielle remplace les voiles par la vapeur et le chanvre par le coton. La manufacture ferme en 1852. Des marchands de graines comme la maison VILMORIN s’intéressent à Beaufort et à son sol riche. La vallée va devenir un grand champ d’essai, spécialiste en semences fourragères, potagères et florales. Grace à un micro climat, tout pousse dans la vallée.

 

Edgar PISANI, ministre de l’agriculture de De Gaulle et Député angevin, va faire de la vallée le « polder angevin » en aménageant l’Authion, la « petite fille de la Loire ». Aujourd’hui, des entreprises leaders en semences et plants sont présentes, en lien avec le pôle végétal angevin de compétitivité international : Végépolys.

 

 

Grâce à de vieilles cartes postales et d’anciennes photographies, la ville vous propose de remonter le temps pour découvrir Beaufort-en-Anjou autrement : cliquez ici.

L’Hôtel de ville a été construit en 1860, par les architectes Duvêtre et Bonnet, sous la mandature d’A. Dubost. Il est de style Louis XIII, reconnaissable par l’utilisation de brique en remplissage de panneaux de façade.

Retrouvez l’histoire de l’Hôtel de ville : cliquez ici.

L’église Notre-Dame est le troisième édifice religieux construit à cet emplacement. Elle fait suite à une chapelle en bois (vers 1000) et à une église du XII ème siècle. Au XV ème siècle, Jeanne de Laval décide de faire ériger un nouveau sanctuaire à la place de l’église romane devenue vétuste.

La nef et le bras nord sont construits à l’extrême fin du XV ème début du XVI ème siècle. Le clocher, de style Renaissance est achevé en 1542. L’essentiel de l’édifice actuel, comme l’impressionnant chevet néo-gothique, est reconstruit dans la seconde moitié du XIX ème siècle.

 

À l’intérieur de l’église, les 41 verrières composées de 652 personnages, œuvre majeure du maître-verrier parisien Edouard Didron, illustrent principalement la vie de la Vierge.
Parmi celles-ci, le grand vitrail du transept sud, restauré en 2016, en est certainement le point d’orgue.
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Le grand orgue, restauré en 1994, vibrent chaque année en mai à l’occasion du Grand Prix de l’Académie des Beaux-Arts, Institut de France. L’église Notre-Dame de Beaufort-en-Vallée fait partie du réseau des « Églises accueillantes en Anjou ».

Fondée au XII ème siècle, l’église Saint-Aubin, est à l’origine une simple chapelle desservant le château féodal. Elle devient église paroissiale en 1282. L’édifice, bien que modifié au fil des siècles, possède encore quelques éléments datant de l’époque romane.
Pour l’anecdote, le clocher de l’église Saint-Aubin abrite les premières cloches électrifiées de Maine-et-Loire en 1926.

Fondé en 1422, l’Hôtel Dieu, installé sur le site de l’ancien faubourg des Moulins depuis le XVII ème siècle, est emblématique. Confié aux sœurs hospitalières de Saint-Joseph de La Flèche en 1671, il marque une période de reconstruction et de modernisation de l’institution hospitalière au service des autres. Les hauts murs des XVII ème et XVIII ème siècles de l’Hôtel-Dieu ont abrité l’hôpital de Beaufort jusqu’en 1995.
Le site de l’Hôtel Dieu n’est pas actuellement ouvert à la visite.

En savoir plus sur l’ancien Hôtel-Dieu de Beaufort-en-Vallée : cliquez ici.

Jusqu’au milieu du XIX ème siècle, Beaufort est l’une des plus importantes et riches villes de l’Anjou. Implantées sur l’actuelle place Jeanne-de-Laval depuis le XIV ème, les Halles était centre de commerce et notamment pour le marché de Chanvre (1842).
Les femmes filaient et les hommes tissaient entre 2 saisons d’agriculture. Pleins de petits ateliers constitués en guilde ont précédés une manufacture dite « royale » qui fournissaient les marchés de voiles de bateau (stockées dans les caves des halles).

Ville de foires et de marchés depuis le moyen-âge, Beaufort-en-Vallée avait édifié un premier bâtiment destiné aux vendeurs et aux colporteurs. Démoli en 1838, il fut reconstruit sur le terrain de l’ancien grenier à sel pour y accueillir les marchands et la justice de paix.
En 1926, le bâtiment devient une salle des fêtes. Le conseil y autorise des bals. C’est le début d’un statut de salle polyvalente.
Les Halles ont été conçues par l’architecte angevin Joseph Richou. Elles s’inspirent des palais florentins du Quattrocento, la Renaissance italienne.

Situé en plein cœur de ville, les halles offrent aujourd’hui un lieu d’exposition, de programmation culturelle et d’animation de la ville.

Le peuplement initial de Beaufort-en-Vallée se situe au lieu-dit « Saint-Pierre-du-Lac », tandis que la butte dominant la vallée de l’Authion est occupée par un oppidum gallo-romain. Au XI ème siècle, le comte d’Anjou Foulque Nerra fait construire un château-fort sur cet emplacement stratégique. Peu à peu, la population se déplace vers la butte afin de se mettre sous la protection du bellus fortis (le beau fort), à l’origine du nom de la ville.

 

En 1343, Guillaume Roger, seigneur limousin et frère du pape Clément VI, devient le premier comte de Beaufort. Il entreprend une vaste reconstruction du château qui dure une dizaine d’années. La forteresse se compose alors de trois tours carrés reliées par un mur d’enceinte et d’un grand bâtiment rectangulaire dont le premier étage est voûté d’ogives. Au milieu du XV ème siècle, René 1 er d’Anjou acquiert le château et lui ajoute une quatrième tour octogonale dite « tour du Roi René ». Ruinée par les guerres de religion, la forteresse est démantelée au cours du XVII ème siècle. Ses matériaux sont réemployés pour le renforcement des remparts de la ville ainsi que pour la construction du couvent des Récollets.

Grâce à de vieilles cartes postales et d’anciennes photographies, le service communication de la ville vous propose de remonter le temps pour découvrir Beaufort-en-Anjou autrement.

LA PLACE DU LION D’OR

Quand les habitants de la Vallée se rendaient autrefois à Beaufort-en-Vallée pour faire leurs courses, ils disaient volontiers qu’il allait à la ville. Avec ses 6 000 habitants au début du XIX e siècle, la cité affiche des allures de centre urbain. Dans son architecture, elle a largement tiré profit de son rôle de carrefour administratif, agricole, industriel et commercial. Pour s’en convaincre, il suffit de parcourir la photo présentée ci-dessus.
Vous pouvez découvrir la place Boucicault, appelée autrefois la Place du Lion d’or, avec ses rues pavées, ses commerces, ses belles demeures et ses courbures de toit en tuffeau. On peut y apercevoir une sellerie, une imprimerie papeterie, une pharmacie, un café et aussi un hôtel. Elle était très proche de la Grande Rue, nommée aujourd’hui rue du Général Leclerc, où demeuraient les familles aristocratiques et bourgeoises.
© Source : photo ville de Beaufort-en-Anjou.

LA GARE DU « PETIT ANJOU »

Sortie tout droit des archives de la ville vous pouvez découvrir une ancienne carte postale de la gare de Beaufort-en-Vallée. Le timbre peut nous faire penser que cette photographie date de 1907-1921, années de vente de la semeuse sur fond vert à 5c.
Pour la petite histoire, la gare de Beaufort faisait partie du réseau secondaire appelé « Petit Anjou ». Situé dans les départements de la Loire-Atlantique (anciennement Loire-Inférieure) et du Maine-et-Loire, ce réseau, en service en 1893 et long de 317 km, comptait 30 locomotives, d’une centaine de voitures voyageurs et de 300 à 350 wagons de marchandises. La vitesse, dite « commerciale », des convois vapeur était de 15 km/h. Les premières fermetures des lignes aux voyageurs sont intervenues entre 1935 et 1937. Le trafic a repris pendant la guerre. En 1947, la plupart des lignes sont définitivement fermées, y compris celles de Beaufort.
© Source : photo ville de Beaufort-en-Anjou.

LE LAVOIR

Sommairement aménagé en 1825, le lavoir a été démonté, puis reconstruit dans les années 1870, par un jeune architecte, d’origine beaufortaise, Auguste Beignet. Une grande halle de quinze travées de trois emplacements chacune est créée. Des cabines, équipées d’une cheminée commune, permettent de déposer le linge pour la nuit, chauffer les repas, cuire les aliments et sécher les vêtements mouillés. Des séchoirs, accessibles par les charrettes, sont aménagés (2)… Un véritable confort de vie pour les laveuses.

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Retrouverez le dessin du lavoir de 1820 : cliquez ici.

Légende photo : 1825, le 1er lavoir abrité sur le Couasnon.
© Source : jmschio.pagesperso-orange.fr

L’HORLOGE DE LA MAIRIE

Érigée en 1862 par le maire, M. Du Bost, l’horloge de l’hôtel de Ville fait partie intégrante du patrimoine culturel et historique de Beaufort-en-Anjou.
Installé dans le grenier de la mairie, son mécanisme est composé de rouages, d’un balancier, de 3 poids et de 3 manivelles qui doivent être remontés tous les 8 jours. Sans cette intervention, le dispositif s’arrête et l’horloge aussi.
Elle a été édifiée il y a plus de 160 ans. Vous pouvez découvrir cette information en chiffres romains (MDCCCLXII) sur la plaque en ardoise située sous le cadrant. Le nom du maire, des adjoints et des conseillers municipaux de l’époque y figurent également.

En savoir plus : cliquez ici. (page 2).

Légende photo : Hôtel de Ville de Beaufort-en-Vallée.

L’ÉCOLE DU CHÂTEAU

Le collège des garçons place du Château.
L’école publique du Château a pris place dans l’ancien collège royal de Beaufort, dont la construction originelle remonte vraisemblablement au XVe siècle. Le bâtiment a été profondément remanié sous Louis XIII et Louis XIV, avant d’être rénové et agrandi au XIXe siècle.

LE BOULEVARD DU REMPART

Près de la tour se dresse le dernier vestige de la ligne fortifiée qui ceinturait la ville. Construite à partir de 1545, jamais achevée, elle fut démolie dès la fin du XVIIe siècle.

L’INONDATION DE 1856

Juin 1856, cette date reste gravée dans la mémoire. En Touraine, plusieurs levées cèdent sous la pression des eaux ligériennes grossies généreusement par ses affluents, Cher, Indre et Vienne. À la Chapelle-Blanche, en Indre et Loire, une brèche de 180 mètres de long s’ouvre. De Bourgueil jusqu’aux carrières d’ardoises de Trélazé, en passant par Beaufort, tout le val est inondé.

A découvrir : l’ouvrage « La barque rouge » de Charles Saint-Martin, le grand roman des inondations de la Loire, paru en mars 2015.

L’HÔTEL DIEU – RUE DE LORRAINE

L’ Hôtel Dieu : quatre siècles de l’histoire hospitalière sont abrités derrière ces murs. On y retrouve l’apothicairerie, la chapelle et le réfectoire des sœurs aux hautes boiseries du XVIIe siècle. C’est d’ailleurs ici que fut tournée une scène du film « Que la fête commence » de Bertrand Tavernier, avec Philippe Noiret et Jean Rochefort. Dans le rôle de l’Abbé Dubois, ce dernier apprend à dire la messe.

LA RUE DE LA CHAUSSÉE

Cinq portes étaient ouvertes dans les remparts de la ville. Ici, la porte de la Chaussée, située sur la route de Baugé. Elle était bordée par deux tours, qui furent détruites à la fin du XIXe siècle.
Beaufort n’a pas été épargné par les grands conflits de l’histoire de France. Pendant la guerre de Cent Ans, la cité fut occupée à deux reprises par les Anglais et libérée une première fois par Du Guesclin (1370). En 1585, le prince de Condé et les huguenots investirent la ville. Et, en 1621, les frondeurs s’emparèrent à nouveau de la place. Heureusement, les dernières années de l’Ancien Régime furent calmes et contribuèrent à la prospérité agricole de la commune.

LE PETIT MOULIN DE JEAN-TARIN

Jean Tarin, intellectuel et conseiller de Louis XIII. Une place porte son nom.
Ce Beaufortais fut l’une des grandes figures intellectuelles du XIIe siècle. Après des études de philosophie au collège des Jésuites de la Flèche, il grimpe tous les échelons au sein de la Cour. Recteur de l’Université de Paris en 1625, il est nommé quelques années plus tard lecteur royal, puis conseiller du roi Louis XIII. Il obtient même la chaire de rhétorique grecque et latine au Collège de France. L’un se ses ouvrages est conservé au musée Joseph-Denais.

LE CHÂTEAU (LES RUINES)

Le château fort de Beaufort-en-Vallée a donné son nom à la ville (BEAU FORT). Il a été édifié au XIe siècle par le comte d’Anjou Foulque Nerra. Situé sur un emplacement stratégique, ce monument historique a été détruit 4 fois au cours de son histoire et à chaque fois sur ordonnance du Roi de France. C’est Louis VIII qui ordonne, le premier, de détruire la place forte sur la vallée en 1214 et ainsi éviter qu’elle ne serve de point de replis aux seigneurs réfractaires à l’autorité royale.
Au milieu du XVe siècle, le roi René d’Anjou acquiert le château et le fait réaménager. Il y séjourne avec Jeanne de Laval, sa deuxième épouse, qui y demeura jusqu’à sa mort en 1498 pendant 17 ans.
L’origine de Beaufort-en-Vallée se situe au lieu-dit Saint Pierre du Lac, ancienne cité lacustre dont les outils préhistoriques sont visibles dans les vitrines du musée Joseph-Denais. Si vous regardez certains bâtiments dans la ville vous pourrez constater qu’ils ont été construits avec les pierres du château. La légende raconte que la colline où se situe le fort serait la colline du Roi Ban de Benoïc, personnage du cycle arthurien et le village de Saint-Pierre-du-Lac serait l’ancien emplacement du Lac où Lancelot aurait passé son enfance.

JOSEPH DENAIS PERSONNAGE ET MUSÉE

Depuis 1905, la ville a son musée. L’œuvre d’un enfant du pays, Joseph Denais (1851-1916), érudit et impénitent collectionneur.
Passionné d’archéologie, d’histoire et d’art, il traque le moindre objet pour faire ressurgir le passé de sa commune. Au total, le musée Joseph-Denais comptabilise aujourd’hui près de 10000 pièces inventoriées. On y retrouve des objets tout à fait remarquables, en particulier plusieurs sculptures de Camille Claudel et deux momies égyptiennes encore visibles aujourd’hui.
Le bâtiment est surprenant, il abritait jusqu’en 2000 la caisse d’épargne au rez-de-chaussée et le musée à l’étage. Le fronton en bronze et son inscription « Le génie des arts entouré de la fortune de l’épargne » unissaient les deux fonctions de ce bâtiment.

LA MANUFACTURE ROYALE

Les activités liées à la transformation du chanvre existent à Beaufort depuis le Moyen Âge, occupant hommes et femmes. Des métiers étaient présents dans les maisons jusqu’au début du XXe siècle. En 1723, les tisserands se constituent en confrérie dont le musée conserve un fragment du registre de dépôt des marques en 1761 (BF 993.136).
 La manufacture de toile à voile est fondée en 1748 le long de la rue Bourg-Guillaume sur une emprise comprenant des bâtiments plus anciens, comme le montre l’élévation dressée en 1753. Elle accueille à son ouverture quinze métiers battants et dix-huit prêts à battre. Mais l’entreprise connaît rapidement des difficultés : elle est cédée en 1778 à la société qui exploite la manufacture d’Angers. Rachetée par Joubert-Bonnaire en 1790, la manufacture de Beaufort périclite ; les bâtiments sont vendus à la Ville en 1838.
Un dessin aquarellé sur papier est visible au musée Joseph-Denais, dans la salle Beaufort aux XVIIIe et XIXe siècles.

Le circuit-découverte Jeanne de Laval invite à parcourir la ville et ses mille ans d’histoire : des ruines du château au musée Joseph-Denais, en passant par la place Jeanne de Laval, l’église Notre-Dame, les halles, l’ancien hôpital, les hôtels particuliers… Ce parcours pédestre, jalonné de bornes et de lutrins, permet de faire connaissance avec le patrimoine historique et architectural de l’ancienne cité comtale.

 

En savoir plus :cliquez ici.

Les Journées du patrimoine ont lieu chaque année, le temps d’un week-end, au mois de septembre. L’occasion pour tous de découvrir l’histoire et les lieux patrimoniaux de France.
La 41 ème édition 2024 se déroulera les samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024 sur les thèmes “ Patrimoine des itinéraires, des réseaux et des connexions ” et “ Patrimoine maritime”.

 

Beaufort-en-Anjou vous dévoilera encore un peu plus de son histoire. Au programme : visites guidées et libres, balades, quiz, chasse au trésor, découverte des Halles et de ses caves, braderie…
Faites votre choix parmi les 12 temps forts proposés.
Programme détaillée à Beaufort-en-Anjou : cliquez ici

 

Cette année, les communes du territoire, en collaboration avec le service tourisme de la Communauté de communes Baugeois-Vallée (CCBV), ont réalisées un programme unique. Vous y retrouverez tous les événement proposés à Beaufort-en-Anjou et dans les communes de Baugé-en-Anjou, La Ménitré, Les Bois d’Anjou, Mazé-Milon, Noyant-Village et la Pellerine.

 

Visitez l’église Notre-Dame avec un audio-guide.
L’application gratuite, izi.TRAVEL, propose des contenus d’audioguides géolocalisés.
Depuis le printemps 2018, Jean-Marie Schio, un passionné de l’histoire de la ville, a fait entrer le patrimoine de Beaufort-en-Anjou dans une nouvelle ère numérique.
Vous pouvez, dès aujourd’hui, découvrir l’histoire de l’église Notre-Dame à l’aide de votre tablette ou de votre smartphone.

 

Comment télécharger l’application ?
1 – Téléchargez l’application izi-TRAVEL disponible sur votre smartphone, disponible sur Google play, l’App Store et Windows Store ;
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4 – Laissez-vous guider ;
Après la visite, vous pouvez faire des suggestions pour améliorer l’audio guide.

 

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Recherches sur la ville, son histoire, ses halles, son château… Jean-Marie Schio, chercheur, nous fait partager sur son blog ses découvertes et son regard personnel.
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